CHAPITRE I
Pourquoi le narrateur ne
dort-il pas ?
Ø Le narrateur de dort pas parce qu’il est
écrasé par le poids de sa solitude. Il dit : « Le soir, quand tous dorment, (…)
moi, je ne dors pas. »
Pour quelle raison le narrateur veut-il attraper un moineau ? Justifiez votre réponse.
Ø Le narrateur veut attraper un moineau pour en
faire un ami car il était solitaire: « Il veut en faire son compagnon. »
Qu’est-ce qui montre que
le narrateur va faire un retour en arrière ?
Ø Ce qui montre que le narrateur va faire un
retour en arrière est la phrase : « ma solitude en date pas
d’hier ».
« Ma solitude ne date
pas d’hier. » Cela veut dire quoi ?
Ø Cela veut dire ma solitude date d’aujourd’hui.
Ø Cela veut dire ma solitude date d’aujourd’hui.
Pourquoi le narrateur
veut-il entamer l’écriture de son roman autobiographie ?
Ø Le narrateur veut entamer l’écriture de son
autobiographie afin d’égayer et comprendre la raison de sa solitude « Il me
reste cet album pour égayer ma solitude, pour me prouver à moi-même que je ne
suis pas encore mort. » Une mémoire tenace ou le problème de la vérité ou le
pacte autobiographique.
Le narrateur est-il sûr de la véracité (authenticité) des événements qu’il raconte ?
Justifiez votre réponse.
Ø Oui, le narrateur est sûr de la véracité
(authenticité) des événements qu’il raconte car il dit : « Ma mémoire était une
cire fraîche et le moindre événement s’y gravait en images ineffaçables. »
A quoi le narrateur
assimile-t-il sa mémoire à l’âge de six ans ?
Ø Il l’assimile à un album qui l’aide à meubler
sa solitude d’adulte.
Qu’est-ce qui
distinguait le narrateur des autres enfants de six ans ?
Ø Les enfants âgés de six ans cherchaient à
imiter alors que le narrateur voulait connaître.
Relevez dans le
paragraphe « je crois n’avoir…un certain trouble » le va et
vient entre les sentiments de l’auteur enfant et les sentiments de l’auteur
adulte ?
Ø L’auteur adulte analyse sa répulsion et la
traduit par l’adverbe « depuis ». Ce sentiment trouve ses racines
dans l’enfance où le malaise était vague.
Relevez le champ lexical
du malaise du narrateur dans le bain maure ?
Ø Le champ lexical du malaise : je restai
tout bête, je me sentais plus seul que jamais, j’étais de plus en plus persuadé
que c’était bel et bien l’Enfer. Dans les salles chaudes, l’atmosphère de
vapeur, les personnages de cauchemar qui s’y agitaient, la température,
finirent par m’anéantir, je m’assis dans un coin, tremblant de fièvre et de
peur.
Est-ce que l’auteur
était fréquemment soumis à l’éprouve du bain ?
Ø Non, l’auteur n’était pas fréquemment soumis à
l’épreuve de bain maure parce que sa mère ne voulait point s’embarrasser
d’un enfant empoté et maladroit comme lui.
A quoi se livrait
l’auteur quand sa mère le portait au bain maure ?
Ø L’auteur se livrait à ses fantaisies en jouant
dans le derb ou en inventoriant les trésors de sa boîte à merveilles.
Quelles sont les
fonctions du bain ?
Ø Le bain servait à se purifier et à colporter
les potins et les commérages.
Montrez comment la mère
du narrateur a tendance à la dramatisation.
Ø La mère du narrateur avait tendance à la
dramatisation parce qu’elle passait du rire le matin aux pleurs le soir et ne
manquait pas de donner au moindre incident les proportions d’une véritables
catastrophe.
Relevez le rituel de la
lessive chez la mère du narrateur.
Le jour
|
Activités du jour
|
Activités de la
nuit
|
Lundi, jour de lessive
|
Occupation du patio
Encombrement du patio avec des jauges de bois,
des bidons qui servaient de lessiveuses, des seaux pour le rinçage et des
paquets de linge sale.
|
La soirée était consacrée au pliage des
vêtements et parfois au raccommodage
|
Est-ce que le mari croit en l’innocence de sa
femme ? Justifiez à partir du texte.
Ø Non, le marine croit pas en l’innocence de sa
femme comme en témoigne sa réplique : » avec qui t’es-tu encore
disputé ? » L’adverbe « encore » met l’accent sur la
fréquence des disputes provoquées par sa femme.
Pourquoi le narrateur
s’évanouit-il ?
Ø Le narrateur s’évanouit parce qu’il n’en
pouvait plus de bruit occasionné par la reprise de la dispute entre sa mère et
Rahma.
Quelle est l’instance
qui raconte dans le texte ? Donnez sa valeur et montrez sa relation avec
le genre du roman.
Ø L’instance qui raconte dans le texte est le
« je ». Le « je » réfère à l’auteur-narrateur-personnage,
qui valide le genre auquel le genre auquel appartient le roman à savoir
l’autobiographie.
CHAPITRE II
A quoi était consacré le
matin au msid ?
Ø Le matin était consacré à la révision des
chapitres du coran appris depuis l’entrée au msid.
Qui est Lalla Aïcha ?Et que
conseille-t-elle à Lalla Zoubida ?
Ø Lalla aïcha est une Chérifa qui a rendu visite
à Lalla Zoubida et lui a conseillé de se rendre à Sidi Ali Boughaleb pour
soulager ses maux.
Relevez le portrait de
Lalla Aïcha ?
Ø Lalla Aïcha est plus large que haute; la tête reposant directement sur le
tronc; des bras courts.
Quelles sont les
péripéties de la promenade jusqu’à Sidi Boughaleb?
Ø Les péripéties du voyage peuvent se résumer
dans les murs sales auxquels il ne fallait se frotter et aux ânes dont il fallait
éviter la proximité.
Une fois arrivé à Sidi
Boughaleb, que se passe-t-il ?
Ø Une fois arrivé à Sidi Boughaleb, la mère prit
un peu d’eau et en aspergea son enfant en marmonnant de vagues prières et
arrivant devant le catafalque, Lalla Aïcha et Lalla Zoubida entrèrent dans un délire sacré.
Est-ce que les vertus
attribuées à Sidi Boughaleb se concrétisent ?
Ø Non, les vertus attribuées à Sidi Ali
Boughaleb ne se concrétisent pas puisque le narrateur au lieu d’être guéri y
est griffé à sang par un gros matou.
Quel est le cérémonial
des matinées à Dar Chouafa ?
Ø Le cérémonial des matinées à Dar Chouafa est
le suivant : les habitants se réveillent chacun à son rythme et échangent
des salutations d’usage.
Qui sont les employés du
père du narrateur ?
Ø Les employés du père du narrateur sont un
vieil ouvrier qui aidait le père sur le métier et Driss le teigneux qui
garnissait les canettes et faisait les commissions.
Qu’est-ce qui montre que
la famille du narrateur est assez aisée ?
Ø Ce qui montre que la famille du narrateur est
assez aisée sont les dépenses domestiques du foyer qui étaient relativement
importants et aussi le fait que la famille mangeait de la viande trois à quatre
fois par semaine.
Quel cadeau a donné
Rahma à sidi Mohamed ?
Ø Rahma donna un cabochon de verre à facette que
le narrateur ajouta aux trésors de sa boîte à merveilles.
CHAPITRE III
Comment le narrateur
passe-t-il sa journée au msid ?
Ø Le narrateur s’ennuie et attend l’heure de
sortie avec impatience.
Quel signe annonçait la
fin de la journée au msid le vendredi ?
Ø Quand les élèves commençaient les quelques
vers de Bnou Achir et les prières pour implorer la miséricorde de Dieu, cela
signifiait le retour à la maison.
Montrez comment la mère
devient un bon stratège pour avoir la lampe à pétrole.
Ø La mère sert le dîner comme d’habitude, elle
aborde des sujets anodins. profitant de la baisse de lumière, elle critique la
qualité des bougies et leur éclairage. et enfin, elle donne son argument majeur
« tous les gens « bien »s’éclairaient au pétrole ».
Montrez à partir de ce
qui précède que la mère revendique doublement son appartenance aux
gens « bien ».
Ø La mère, fière de ses origines montagnardes ne
manquait jamais de les évoquer, allant même jusqu’à soutenir l’appartenance à
d’authentiques descendants du prophète. Elle est aussi fière de son niveau
social assez aisé.
Qu’est-il arrivé à
Rahma ?
Ø Rahma perd sa fille Zineb en voulant se rendre
au quartier Kalkalyine. Elle rentre chez elle en se lamentant et en
s’administrant des claques sonores sur les joues.
Montrez comment le
malheur efface les disputes et consolide les liens des habitants.
Ø La mère de Sidi Mohamed oublie sa dispute avec
Rahma et se précipite pour la consoler et partager sa peine en pleurant et se
lamentant avec elle.
Montrez comment un
incident comme la perte d’une fille bascule du tragique au comique.
Ø La perte de Zineb cause beaucoup de peine à
Rahma. Mais en voulant partager la douleur de leurs voisines, les femmes
pleuraient chacune pour sa raison personnelle. Sidi Mohamed pleure aussi pour
faire comme les autres et surtout parce qu’il avait faim.
Comment Rahma a-t-elle
perdu sa fille ?
Ø Rahma a perdu sa fille en se rendant au
baptême du bébé da sa soeur Khadija.
Montrez comment les
saints jouent un rôle primordial dans la vie de tous les jours.
Ø Khadija et Allal son mari, se rendent à Sidi
Ali Bou Serghine pour avoir un bébé.
Qu’es-ce que Rahma
organise pour remercier Dieu d’avoir retrouvé sa fille ?
Ø Rahma organise un repas pour les pauvres.
Montrez comment au
milieu d’une foule joyeuse, Sidi Mohamed se sent seul et triste.
Ø Le narrateur dit : « personne ne
s’était occupé de moi, je me sentis triste ».
Quel est le recours de
Sidi Mohamed dans ses moments de solitude ?
Ø Dans ses monuments de solitudes, Sidi Mohamed
sort sa boîte à merveilles et déballe ses différents objets.
Relevez les noms de
lieux dans le chapitre. Quelle est leur fonction ?
Ø Les noms de lieux : Dar Chouafa, quartier
Kazlkalyine, Mechatine, Seffarine, Rsif, Moulay Driss, Riad Jeha. L’importance
de ces noms de lieux est de jouer un rôle de témoignage et d’ancrer les
événements racontés dans une géographie réelle.
CHAPITRE IV
Montrez comment Lalla
Aïcha se joue de ses voisines.
Ø Lalla Aïcha sait que ses voisines épient ses
dires, c’est pourquoi elle ne manque pas de les flatter hautement avant de
chuchoter à l’oreille de son invitée sa véritable pensée.
En quoi consiste le jeu
du narrateur avec les enfants de la maison ?
Ø Le narrateur et les enfants jouent à recevoir
des invités et à la mariée.
Par quoi finit le jeu
des enfants ?
Ø Le jeu finit par une bataille et des
hurlements.
Quel est le procédé
narratif utilisé dans le passage : « ma mère racontait…la
dispute » ?
Ø Le procédé narratif utilisé est le sommaire.
Quels types de portraits
fait la mère du narrateur de ses voisines ?
Ø La mère fait des portraits valorisants de
Rahma, sa voisine du premier étage, Fatima, sa voisine d’en face et tante Kanza
la Chouafa.
Qu’est-ce qui montre que
l’arrivée de Moulay Larbi n’est pas attendue ?
Ø Ce qui montre que son arrivée est inattendue
est l’usage de l’adverbe « inopinément ».
Que préfigure le
conciliabule de Larbi avec sa femme Aïcha ?
Ø Il préfigure des problèmes que Aïcha raconte à
Lalla Zoubida en pleurant.
Après le déjeuner de
vendredi, que fait Lalla Zoubida ?
Ø Après le déjeuner du vendredi, Lalla Zoubida
raconte les problèmes de Larbi avec un certain Abdelkader.
Qui est l’épicier
Abdellah ?
Ø Abdallah tient un fonds de commerce consistant
en deux grappes de balais de palmier nain, une douzaine de couffins, un paquet
de ficelle et quelques boîtes qu’on suppose remplis d’épices.
Quelle est la
caractéristique principale de ce personnage ? Argumentez.
Ø La caractéristique principale de ce personnage
est qu’il est mystérieux et insaisissable puisque les points de vue le
concernant sont contradictoires.
Quelle est la
caractéristique du récit dans ce chapitre ?
ØLa caractéristique du récit dans ce chapitre
est l’emboîtement.
Relevez l’emboîtement du
récit dans ce chapitre.
Ø L’emboîtement dans ce chapitre est comme
suit :
CHAPITRE V
Que fait la mère du
narrateur en rentrant à la maison ?
Ø Elle donne à manger à son fils et s’empresse
de raconter les malheurs de Lalla Aïcha à Fatma Bziouya et Rahma.
En quoi consistent les
malheurs de Lalla Aïcha ?
Ø Rahma a tout vendu, meubles et bijoux, pour
acheter la matériel nécessaire à l’installation du nouvel atelier de son mari.
Relevez le cérémonial
funèbre de Sidi Mohamed Ben Tahar.
Ø A la mort de Sidi Mohamed Ben Tahar, les
pleureuses vociféraient des lamentations, adressaient des prières à Dieu,
invoquaient les saints. Loin des femmes, les psalmistes récitaient quant à eux
un long chapitre de coran. Après les ablutions rituelles, le cadavre fut vêtu
de blanc et emporté par les hommes sur une civière pour être enfin enfoui dans
une terre humide.
D’après le texte, est-ce
que les cortèges d’enterrement se ressemblent ?
Ø Non, ils ne se ressemblent pas. Il y’a des
morts qui sont accompagnés par une foule nombreuse et des morts sans personne
pour les accompagner à leur dernière demeure.
Dans le délire du
narrateur, en quoi sa boîte à merveilles se métamorphose-t-elle ?
ØElle se métamorphose en cercueil qui
l’emporte dans des palais d’émeraude.
Quel est le nouvel objet
qui s’ajoute à la boîte à merveilles ? Par qui est-il offert ?
Ø Le nouvel objet qui s’ajoute à la boîte à
merveilles est une chaînette de cuivre rongée de vert-de-gris et elle est
offerte par la mère du narrateur.
Qu’arrive-t-il à la
chaîne du narrateur ?
Ø Le chat de Zineb n’arrivait pas à arracher la
chaînette de son cou, il se hérissa et partit en flèche.
Par quoi finit la
mésaventure du narrateur avec le chat de Zineb ?
Ø Elle finit par une dispute violente entre le
narrateur et Zineb la propriétaire du chat. Le narrateur a accusé Zineb d’être
à l’origine de la disparition de sa chaîne.
CHAPITRE VI
Que se passe-t-il
au msid à l’occasion d’Achoura ?
Ø A l’occasion d’Achoura, le maître collecte les
dons pour renouveler les nattes et forme des équipes pour blanchir les murs et
nettoyer le sol.
Quel rôle joue le
narrateur dans le nettoyage du msid ?
Ø Le narrateur est nommé chef des frotteurs et
cette fonction le remplit de fierté.
Pourquoi le narrateur
accompagne-t-il sa mère à la kissaria ?
Ø Il accompagne sa mère à la kissaria pour acheter des habits neufs pour la fête de
l’Achoura.
Pourquoi le narrateur
est-il réprimandé par sa mère avant la sortie pour la kissaria ?
Ø Il est réprimandé par sa mère avant la sortie
parce qu’il ne l’a pas entendu en train de l’appeler alors qu’il exprimait sa
joie sur la terrasse.
Relevez le nom du génie
à satisfaire et sa couleur symbolique.
Ø
Le génie à satisfaire
|
Sa couleur
|
-Le roi Bel Lahmer (un génie bienfaisant)
-Lalla Mira (mal sournois)
-Sidi Moussa
|
Noire
Jaune de flamme
Bleu roi
|
Qui est la femme
rencontrée près de Sidi Ahmed Tijani ?
Ø C’est la voisine de Lalla Aïcha qui commente
la fin heureuse de l’affaire Moulay Larbi grâce aux sacrifices de sa femme tout
en soulignant perfidement l’ingratitude des hommes.
Dans le cérémonial du
marchandage du gilet rouge, relevez les stratégies développées par le marchand.
Ø Les stratégies argumentatives du cérémonial du
marchandage du gilet rouge :
Le marchand
|
La mère du narrateur
|
Quatre réaux
Devrai-je mendier ce soir pour nourrir mes
enfants ?
Ce garçon me plait
Pourrais-tu vraiment en trouver cette
qualité ?
Admire avec quel soin ont été faite toutes les
coutures
Tu me parais être une chérifa pleine de baraka
|
Deux réaux
Je fais ce sacrifice pour mon fils
La fête de l’Achoura
Les gilets ne manquent pas dans les boutiques
de lakissaria.
|
Résultat : la mère a donné au marchand deux
réaux et demi parce qu’il lui a dit « chérifa ».
Quelle histoire raconte
Rahma dans ce chapitre ?
Ø Elle raconte l’histoire de l’oncle Othman que
la vieille M’barka lui a racontée.
Résumez l’histoire de
l’oncle Othman.
Ø L’oncle Othman dont la fortune a connu des
temps meilleurs a dilapidé son capital au cours de sa jeunesse. Ses nombreuses
épouses n’ont pas su le conquérir. Sa dernière épouse Lalla Khadija réussit à
le dominer. Un vendredi, Si Othman alla faire son marché, il eut des démêlés
avec Salem le boucher, donna un coup de pied à un chien et perdit sa babouche,
le temps de la retrouver, le boucher avait fini son commerce. Il pensa amadouer
sa femme par une fleur mais n’échappa pas au sort peu enviable d’être mis à la
porte.
CHAPITRE VII
Pourquoi Hammoussa
vient-il interrompre le récital à la trompette du narrateur ?
Ø Hammoussa vient interrompre le jeu à la
trompette du narrateur car le fquih le réclamait au Msid.
Pourquoi le narrateur se
joint-il à ses amis au Msid ?
Ø Le narrateur se joint à ses amis au Msid pour préparer les lustres en prévision de la nuit
de l’Achoura.
Où le père du narrateur
comptait-il l’emmener le lendemain ?
Ø Il comptait l’emmener au souk pour choisir des jouets, acheter un cierge et se
couper les cheveux.
Qui est Sidi
Ahmed ? Qui va-t-il épouser ?
Ø Sidi Ahmed est le fils de El Haj Ali Lamrani,
le marchand de thé du quartier Sagha. Il va épouser la fille de Si Omar le
notaire.
Montrez comment le
sentiment de supériorité de Sidi Mohamed dans ses habits neufs est
démenti par quelques désagréments.
Ø Bien que tout ce que portait Sidi Mohamed
était neuf, rien n’était à sa taille. Ils étaient tous d’une taille plus
grande.
Relevez les éléments du
merveilleux dans le Msid le jour de l’Achoura.
Ø Le jour de l’Achoura, la façade habituellement triste, avait un décor de féerie et à l’intérieur,
les condisciples étaient tous richement habillés. La fête de l’Achoura semblait envahir tous l’univers puisque
« ce matin, les objets les plus ordinaires, les êtres les plus déshérités
mêlaient leurs voix aux nôtres, éprouvaient la même ferveur, s’abandonnaient à
la même extase, clamaient avec la même gravité que nous, la grandeur et la
miséricorde de Dieu, créateur de toutes choses vivantes ».
Par quoi se termine la
célébration de l’Achoura au Msid ?
Ø Elle se termina par une longue invocation et
par un congé de quatre jours.
Quel a été le programme
prévu pour la journée de l’Achoura ?
Ø Le matin, Sidi Mohamed devait accompagner son
père à Moulay Driss pour la prière, et après le déjeuner, le narrateur devait
accompagner sa mère chez son amie Lalla Aïcha.
Quel imprévu change le
programme prévu pour l’après-midi de l’Achoura ?
Ø L’imprévu qui change le programme de la
journée est l’arrivée inattendue de Lalla Aïcha juste à la fin du déjeuner.
Quel vœu avait Sidi
Mohamed pour l’après-midi de l’Achoura ? A-t-il été exhaussé ?
Ø Le vœu de Sidi Mohamed était de jouer au
tambour et il fut exhaussé puisque sa mère lui permet d’aller sur la terrasse
afin de se ménager un tête à tête avec Lalla Aïcha.
CHAPITRE VIII
Avec l’arrivée de la chaleur,
où le Msid fut-il déménagé ?
Ø Avec l’arrivée de la chaleur, le Msid fut déménagé dans un mausolée à deux pas plus
loin et où il faisait froid.
Quel changement opère le
mausolée sur Sidi Mohamed ?
Ø Sa santé physique et morale s’améliora et sa
mémoire devint excellente.
Qu’est-ce qui justifiait
l’ardeur de Sidi Mohamed dans son travail ?
Ø Son ardeur dans le travail était justifiée par
les deux heures des rêves qu’il s’octroyait l’après-midi.
Relevez le champ lexical
des fleurs.
Ø Le champ lexical des fleurs : les soucis,
les marguerites, les liserons, du géranium rosat, des œillets et des roses
d’Ispahan.
Que va-t-il arriver dans
le souk des bijoux ?
Ø Dans le souk des bijoux, le père et le courtier en vinrent
aux mains et disparurent suivis par les badauds.
Qu’est-il arrivé quand
le père fut rentré ?
Ø Quand le père fut rentré, il rapporta les
bijoux à sa femme et expliqua sa dispute par le fait qu’il fallait corriger le
courtier « dellal » qui essayait de
le voler.
Est-ce que la mère est
contente d’avoir les bracelets soleil et lune qu’elle a longtemps
convoités ? Dites pourquoi ?
Ø Lalla Zoubida n’est pas contente de l’achat
des bracelets lune et soleil qu’elle a longtemps convoités parce qu’elle
prétend que leur beauté attire le malheur.
Quels sont les malheurs
de Lalla Aïcha ?
Ø Lalla Aïcha rendit visite à Lalla Zoubida et
lui révéla que son mari l’a abandonnée et il a épousé la fille d’Abderhaman, le
coiffeur.
Qu’arrive-t-il à Sidi
Mohamed ?
Ø Sidi Mohamed, touché par le côté tragique des
pleurs de sa mère et de Lalla Aïcha, vomit sur ses couvertures.
CHAPITRE IX
Montrez comment les
prédictions de malheur de la mère se réalisent.
Ø Le malheur s’abattit en fait sur la maison de
Lalla Zoubida. Il s’annonce par la maladie de son fils et la ruine de son mari
qui a perdu son capital dans la cohue du souk et se retrouve criblé de dettes.
Que compte faire le père
du narrateur pour régler ses problèmes d’argent ?
Ø Pour régner ses problèmes d’argent, le père
compte travailler comme moissonneur aux environs de Fès.
Expliquez à partir du
contexte la comparaison : « un grand silence s’établit, un
silence lourd, moite, huileux et noir comme la suie ».
Ø Le niveau social de la famille vient de
chuter : de riche, la famille du narrateur est devenue pauvre.
Montrez comment la
famille est régie par la figure du père.
Ø Le père représente la protection. Sa seule
présence assure le respect.
En quoi se transforme la
boîte à merveilles du narrateur ?
Ø La boîte à merveilles se transforme en un
cercueil où gisent les rêves de Sidi Mohamed.
Pourquoi l’imagination
de Sidi Mohamed s’est-elle tarie ?
Ø Son imagination s’est tarie parce qu’il est
attristé par le départ de son père.
Que représente la nuit
pour Sidi Mohamed ?
Ø La nuit représente pour le narrateur un temps
et un espace qui lui permettent de s’évader de ses contraintes et prendre
parfois sa revanche.
Pourquoi Lalla Zoubida
rend-t-elle visite avec son fils à Lalla Aïcha ?
Ø Lalla Zoubida se rend avec son fils chez Lalla
Aïcha parce que cette dernière devait l’accompagner chez Sidi El Arafi qui
prédit l’avenir et jouit d’une grande réputation.
CHAPITRE X
Montrez le décalage
entre la réputation illustre de Sidi El Arafi et l’espace répugnant dans lequel
il évolue.
Ø Sidi El Arafi est respecté par son voisinage,
mais malgré sa réputation, son environnement est sordide : un dédale de
rues de plus en plus étroites, de plus sombres, de plus en plus encombrées de
tas d’ordures et de chats efflanqués, trois portes de maison vétustes et une
bouche d’égout, des nuages de poussière et de mouches tournoyaient dans l’air,
diverses odeurs s’y livraient bataille : ordures ménagères.
Montrez que la visite de
Si El Arafi est pour Sidi Mohamed une nouvelle naissance.
Ø La visite de Sidi El Arafi est pour le
narrateur une nouvelle naissance puisque le monde s’offrait à son regard dans
sa propreté originelle.
Est-ce que Lalla Zoubida
raconte sa visite à Sidi El Arafi ?
Ø Non, Lalla Zoubida ne parla pas de sa visite
chez Sidi El Arafi et prétendit être partie faire un pèlerinage aux sanctuaires
de la ville comme l’exigeait la santé de son fils.
Qu’est-ce que le
messager de Maalem Abdeslem a apporté de sa part à Lalla Zoubida ?
Ø Le messager de Maalem Abdeslem a apporté une
douzaine d’œufs, un pot de terre ébréché plein de beurre et une bouteille
d’huile d’un brun sombre.
A quoi réfère Lalla
Zoubida quand elle parle de sa surprise et de ses appréhensions ?
Ø L’appréhension de la mère est en fait
légitime. Elle a eu peur d’avoir affaire à un créancier que son mari aurait
oublier de lui signaler et elle n’avait plus assez d’argent pour le payer. Elle
est alors agréablement surprise et soulagée d’entendre que le messager qui la
demande vient de la part de son mari pour lui remettre quelque chose.
Que demande Lalla Aïcha
à Lalla Zoubida ?
Ø Lalla Aïcha demande à Lalla Zoubida de lui
rendre visite le lendemain afin qu’elle lui raconte du nouveau à propos de ses
démêlés avec son mari.
CHAPITRE XI
A quoi était occupée
Lalla Aïcha à l’arrivée de Lalla Zoubida et de son fils ?
Ø A l’arrivée de Lalla Zoubida et de son fils,
Lalla Aïcha était occupée à chasser les mouches à grands coups de torchon.
Qui est le personnage
qui arrive chez lalla Aïcha ?
Ø Le personnage qui arrive chez Lalla Aïcha est
Salama.
Relevez la description
de Salama.
Ø Salama avait une voix d’homme. Elle était
géante. Elle avait le pas majestueux. Elle avait de grosses lèvres que
surmontait une légère moustache. Elle avait de larges dents jaunes.
Quelle information
apporte Salama à lalla Aïcha ?
Ø Salama rapporte la nouvelle du prochain
divorce de Sidi Larbi avec la fille du coiffeur.
Qu’est-ce que Salama
offre à Sidi Mohamed ?
Ø Salama offre à Sidi Mohamed une corne de
gazelle.
Par quoi finit la visite
aux cabinets par Sidi Mohamed ?
Ø La visite aux cabinets finit par des insultes
d’une voisine et par les cris et les pleurs de Sidi Mohamed qui
amoutèrenttoutes les voisines. Salama calma tout le monde en attirant
l’attention sur le jeune âge de Sidi Mohamed.
D’après le récit de
Salama, pourquoi Moulay Larbi voulait-il se remarier ?
Ø Moulay Larbi voulait se marier parce qu’il
estimait gagner largement de quoi faire vivre une famille et qu’à sa grande
douleur, il n’avait pas d’enfant.
Est-ce que le deuxième mariage
de Moulay Larbi est un mariage heureux ?
Ø Le deuxième mariage de Sidi Larbi n’est pas un
mariage heureux puisque sa femme multipliait les exigences : elle voulait
une paire de bracelets d’or, réclamait de l’argent en espèces, voulait
organiser des thés pour ses soi-disant amies et jouait du tam-tam à tout
propos. La belle mère contribuait aussi à rendre la vie difficile à Sidi Larbi
en se mêlant à chaque instant des affaires du ménage.
Que raconte Zhor à
propos du ménage de Moulay Larbi avec la fille du coiffeur ?
Ø Zhor raconta l’incident survenu chez Moulay
Larbi mardi dernier : la jeune épouse qui casse tout et menace de se
suicider à tout bout de champ, a fait une scène lamentable à son mari
puisqu’elle estimait que le foulard qu’il lui avait acheté avait des couleurs
vulgaires et était bon à coiffer la tête d’une négresse. En plus de ses goûts
de richesse, la jeune épouse avait la réputation d’être paresseuse, les
provisions devaient attendre le soir pour être cuits.
Que se passa-t-il à la fin
du récit de Zhor ?
Ø A la fin du récit de Zhor, les quatre femmes
firent une véritable diatribe à la fille du coiffeur, au coiffeur lui-même, à
sa femme et à feu sa mère. Apparemment, l’histoire de cette famille était très
entachée et la famille entière représentait le rebut de la société.
CHAPITRE XII
Comment est décrit le
jour du retour de Maalem Abdeslem ?
ØLe jour du retour de Maalem Abdeslem est décrit
comme un jour heureux, il y flottait dans l’air un élément nouveau qui
chavirait les cœurs.
Pourquoi Allal El
Yacoubi vient-il à Dar Choufa ?
Ø Allal El Yacoubi vient à Dar
Chouafa pour prendre des
nouvelles de Sidi Mohamed à la demande du fquih.
Quelle nouvelle apporte
Zineb à Lalla Zoubida ?
Ø Zineb annonce le retour de Maalem
Abdeslem.
Qu’apprend Driss à
Maalem Abdeslem à son retour ?
Ø Driss El Aouad apprend à Maalem Abdeslem
le divorce de Moulay Larbi et la fille du coiffeur la veille devant le notaire.
Quel est l’avis de
Maalem Abdeslem sur la polygamie ?
Ø Maalem Abdeslem est contre la polygamie :
je savais que la folie de Moulay Larbi serait passagère « n’est-ce
pas folie de vouloir conduire plusieurs attelages à la fois ? Il est déjà
difficile de s’entendre avec une seule femme, de vivre en harmonie avec les enfants
de sa chair… »
D’après le texte, à quel
âge l’auteur a-t-il écrit son autobiographie ?
Ø L’auteur a écrit son autobiographie à l’âge de
trente sept ans.
En savoir plus sur http://secondaire.e-monsite.com/pages/1ere-annee-bac/la-boite-a-merveilles/page-13.html#fhpjCCZsCLs9tUfl.99
m;ayoub yabani
fb;ayoub el yabani
..............................
ليست هناك تعليقات:
إرسال تعليق